Samedi 11 Février

Soirée festive
TRAM des Balkans – Kobiz Project (France)
Temenik Electric (Algérie-France)
Salle des fêtes – Vandœuvre – 20h30
Tarifs : prévente 14 € TR – 16 € TP / sur place 20 €
Buvette et petite restauration

TRAM des Balkans c’est un style Pop’n Trad ou Vibration Est-Ouest aux accents Pop et énergie Rock’n Roll. Kobiz Project est un voyage porté par trois voix sincères, magnétiques, servies par une rythmique volcanique, imprégné par la musique klezmer et les airs traditionnels d’Europe de l’est
Temenik Electric revient avec Inch’Allah Baby, 10 titres irradiés d’Arabian Rock, amplifiés par le vent sec et chaud du sirocco, serti d’une pop futuriste aux embruns de western oriental. Les riffs rock et la transe électro télescopent les musiques populaires du Maghreb. Par ses inspirations et ses fulgurances, Temenik Electric transforme le choc des cultures en grand rock des civilisations. Intense et universel.

TRAM des Balkans –  Kobiz Project (Europe de l’Est)
Style : Pop’n Trad ou Vibration Est-Ouest aux accents Pop et énergie Rock’n Roll.
Après 15 ans d’aventures communes, les 5 musiciens-chanteurs de TRAM des Balkans ont développé la fougue et la folie partageuse des artistes qui savent ce qui leur fait du bien ! Distribution : Vincent Westphal (clarinette, chant) ; Diego Meymarian (violon, Mandoline, banjo, chant) ; Vincent Gaffet (accordéon, harmonica, chant) ; Sylvain Lacombe (contrebasse, basse ) ; Mathieu Cervera (batterie).
Leur 5ème opus ouvre des horizons imaginaires où les traditions se mélangent pour ne faire qu’une, créant de nouveaux ponts dans une Europe rêvée, globale et sans frontières, de la Méditerranée à l’Asie centrale. Le voyage est porté par trois voix sincères, magnétiques, servies par une rythmique volcanique.
Toujours imprégné par la musique klezmer et les airs traditionnels d’Europe de l’est, le groupe a su s’éloigner de l’hommage fidèle pour creuser un sillon fait des influences de chaque musicien et d’une envie insatiable de découverte.
TRAM des Balkans est monté sur les rails en 2002. A son départ, le quatuor explore les contrées klezmer puis s’aventure rapidement dans d’autres traditions et compositions. C’est directement en Live que le groupe entame son aventure discographique avec Shtirip’ Tour, enregistré sur les routes de France. TRAM transmet son désormais reconnu Tush Tush Brassaïet en France et ailleurs (République Tchèque-2009 ; Allemagne-Autriche-Hongrie-2010, Canada 2011).
En 2011, le groupe écrit Rubber man, un second répertoire entre world, pop, swing et énergie rock. Il poursuit son voyage en développant son style pop’n trad.
La même année le groupe fait la rencontre de Violaine Cochard, claveciniste baroque. Leur coup de foudre musical conduira à la création d’un répertoire métissé entre la musique baroque et le pop’n trad. Avec Toccatram, TRAM des Balkans confirme et assume pleinement son goût de la liberté.
Après 15 ans d’aventures communes, les 5 musiciens-chanteurs de TRAM des Balkans ont développé la fougue et la folie partageuse des artistes qui savent ce qui leur fait du bien ! L’aventure continue en 2016 et 2017 avec Kobiz Project.
« Leur musique est inspirée des musiques d’Europe de l’est, avec une originalité musicale indéniable, une ouverture à des styles (jazz, pop, chants de gorge, rock, …) qu’on ne parvient pas clairement à discerner tant ils sont digérés et réappropriés. C’est fort, ça a du goût, ça swingue et ça roucoule avec humour, gouaille, nostalgie » (C.R. Trad Mag)
« 3 chanteurs timbrés et des musiciens éloquents dans une harmonie explosive et contagieuse. »
« Un super contact avec le public et suffisamment d’émotion, d’humour et de chaleur pour redonner du baume au cœur à une armée de dépressifs. » (S. Denis, Le Scarabée)

Temenik Electric (Rock arabe)
Plébiscité par la critique internationale pour son premier album, Temenik Electric revient avec Inch’Allah Baby, 10 titres irradiés d’Arabian Rock, amplifiés par le vent sec et chaud du sirocco, serti d’une pop futuriste aux embruns de western oriental. Dans ce tourbillon d’identités, les riffs rock et la transe électro télescopent les musiques populaires du Maghreb tandis que la langue arabe, entre émotions et incantations, porte l’évidence d’un appel à la danse. Par ses inspirations et ses fulgurances, Temenik Electric transforme le choc des cultures en grand rock des civilisations. Intense et universel.
MeHdi Haddjeri , âme et leader du groupe, revendique l’appellation « Arabian rock » : « Je suis un enfant du rock et de la pop anglaise, qui a grandi en écoutant de la musique arabe en famille. »
Deux années après Ouesh Dada ?, le premier album explosif de 2013, Temenik Electric garde cette énergie particulière, cette flamboyance rock, cette envie de fête qui marquent ses concerts…
Ena Ouyek, « toi et moi », le titre qui ouvre Inch’Allah Baby, déborde de cette double culture arabe et rock. Basse profonde, rythmique tribale, riff entêtant et envolées de violon : tout est là. Dès le début, l’orient percute l’occident, pour une étreinte qui sent la chair et la sueur. Ici, l’histoire est urbaine, mais l’alchimie sonore ouvre d’autres horizons avec des titres qui invitent à la danse.
Chez Temenik, il y a la guitare d’Hassan Tighidet, aigrelette et ciselée, qui rappelle parfois les envolées touareg de Tinariwen, la basse de Jérôme Bernaudon, le cofondateur du groupe. La voix de Mehdi, elle, chante, scande, psalmodie parfois. Dans Zakia, seule ballade du disque, hymne à la pureté des sentiments, elle déchire l’âme et donne à Mehdi, un air de Johnny Cash arabe : « Je l’ai écrite en pleine polémique sur le mariage pour tous qui m’a montrée combien la France était devenue réactionnaire. Ce chant d’amour s’adresse-t-il à un homme ? A une femme ? Je laisse planer le doute ».
Inch ’Allah Baby est universel, parce que, sans être politique, il est rebelle et parle des malaises d’aujourd’hui, traçant en creux un portrait sensible de la situation des Français d’origine algérienne.